Un week-end en jazz en compagnie d’artistes du Burkina, du Ghana et de la Suède


Armé de son harmonica, Filip Jerps nous a fait vivre hier dans ses chansons ses expériences. Il nous a aussi amené à la découverte de ses compositions personnelles et a surtout fait voyager le public dans plusieurs genres musicaux. Tout cela, muni de son petit « bijou » , l’harmonica.

Après sa prestation, on comprend mieux pourquoi ce professeur dans de prestigieuses universités, a été surnommé « Sensation de l’harmonica suédois» par les critiques de musique en Europe.

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Nous avons retrouvé le groupe Lyckorma JazzSextett qui après sa prestation à l’institut français était à l’affiche du programme du jour au village du festival. Le peu qu’on puisse dire, c’est que les causeries ont fait place au silence pour écouter ce groupe qui a forcé l’admiration de plus d’un de par la qualité de sa prestation.

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Yizih la mascotte de cette 22ème édition de Jazz à Ouaga que nous avons retrouvé hier à la place de la nation, site du village du festival.

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Avec une musique qui s’enracine dans la pure tradition du jazz, teintée des rythmes « high-life » et « afro-beat », Gyedu -Blay Ambolley a assuré le show aux melomanes. Avec des rythmes qui emportent, lui et ses musiciens ont fait bouger le public tout le long de leur prestation. Pour un retour, c’est vraiment un retour en force du Ghana dont la dernière participation date d’une dizaine d’années !

 

Il a assuré la première partie de la soirée du samedi. Créateur du Wassana groove, le multi-instrumentiste Tim Winsey a émerveillé plus d’un. Ce mélange de sonorités traditionnelles samo et de rock qu’on connait de sa musique, n’a pas laissé le public indifferent. Une belle découverte pour ceux qui ne le connaissaient pas et juste une confirmation de talent et de tout le bien que d’autres pensaient déjà de lui.

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Précision: En raison de la pluie, il n’y a pas eu de spectacle au village du festival le samedi.